Une assurance chat, ça existe ?

Actuellement, les frais médicaux de votre animal de compagnie représentent un vrai fardeau. Pour cela, les assurances chat ont été lancées sur le marché. Elles ont été créées pour restituer les frais des soins vétérinaires et jouent donc un double rôle à votre égard : une protection financière pour vous et une protection sanitaire pour votre chat.

Les problèmes de santé d’un chat

Les chats ne sont pas moins à l’abri des maladies et des malheurs que les humains. D’ailleurs, les pathologies qui peuvent les atteindre sont nombreuses. On appréhende le plus la rhinotrachéite infectieuse, car elle se transmet à vie, et actuellement, malgré les recherches, des médicaments qui peuvent guérir ce virus n’ont pas encore été créés.

Jusqu’ici, au même rang que le coryza, la rage et le typhus, seul le vaccin permet d’en échapper. D’après 321… Assurance Chat, les maladies qui peuvent atteindre ce félin ne se limitent pas à ces virus, même les maladies parasitaires leur sont nuisibles. On peut compter parmi eux la toxoplasmose. Certes elle guérit vite, néanmoins on la redoute pour sa contagion sur l’homme et notamment sur les femmes enceintes.

Les tarifs vétérinaires onéreux pour les chats

Il est arrivé un triste incident à votre chat, mais vous connaissez les tarifs onéreux des prestations du professionnel de santé animalier, et maintenant vous hésitez à l’appeler. On ne peut pas vous en blâmer. Comparés à une même intervention pour les humains, les frais sont encore plus élevés. Néanmoins, on peut déterminer ce qui peut causer cette hausse au niveau du prix. On peut d’abord citer la liberté dont ces professionnels disposent pour la fixation de leurs tarifs.

En effet, les vétérinaires n’établissent pas une règle commune concernant leurs fourchettes de prix, leur permettant ainsi de mettre les tarifs qu’ils veulent. Ensuite, ces coûts onéreux sont également dus aux matériels de pointe utilisés lors des interventions. Étant un secteur en constante évolution dans les techniques et les technologies, les vétérinaires se doivent donc d’avoir les moyens de suivre ce progrès. Généralement, ces moyens sont donc comblés par les coûts de leurs prestations.